Pecine

DavidMadameHansen

DAVID ET MADAME HANSEN (Alexandre Astier – 2012)

Nulle Astier

Pour son entrée dans la cour des grands, notre bon roi Arthur se transforme en véritable despote. Loin d’être éclairé, il empile beaucoup trop de couronnes sur une seule tête (producteur, scénariste, réalisateur, monteur, acteur de premier plan et même compositeur de la musique), et se plante royalement. Le manque de rythme catastrophique même pour un film situé dans les alpages suisses, et l’absence totale de direction d’acteur (qui du coup jouent avec une justesse et une profondeur dignes des plus grandes productions AB, principalement Adjani qui touche ici le fond de la piscine en étant encore plus paumée que son personnage borderline), semblent donner raison à un autre illustre monarque du cinéma français, Alain Delon qui doutant de l’omnipotence d’Alexandre le finalement pas si grand, refusa au dernier moment de participer à cette camelote. Le roi…

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